Dakar le 30 Janvier 2017
A vous d’en juger.
Photo-1 Photo-2 Photo-3 La situation en est telle que l’obligation d’informer s’impose à moi. Les documents joints suffisent pour convaincre les plus sceptiques. Pourquoi tant de haine ? Pourquoi cet ostracisme de l’Etat sénégalais à mon égard ? Mon seul tort est de chercher et peut-être aussi d’avoir inventé. Je suis le seul au monde à mettre au point un logiciel qui transforme n’importe quel ordinateur en bureau de vote et qui fait voter tous les profils physiques sans assistance (handicapé ou non) et je suis aussi le seul informaticien au monde à avoir mis en ligne un site web pour un audit public de tout processus électoral et qui met un terme à la fraude électorale. Site Web : www.bnd01.tk code accès : 2017
Photo-1
Lettre qui m’a été adressée par L’Office Européen des Brevets (EPO) pour la phase de nationalisation de mon invention et sur laquelle il est mentionné le risque de perte de mes droits en cas de non-respect du délai de paiement des frais fixé pour le 12 Février 2017.
Photo-2 et 3
Les deux protocoles de partenariat signés avec l’Etat sénégalais sous le sceau de l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT) qui n’a aucune responsabilité dans la situation que je vis parce que n’étant qu’un simple instrument d’exécution de l’Etat sénégalais.
Dans les clauses de ces protocoles de partenariat, il est bien précisé que pour tout ce qui concerne la protection et le lancement de mon invention, l’Etat sénégalais m’apporterait son assistance dans la mesure de ses possibilités et ici, il ne s’agit que d’une dépense de 3500 Euros pour les frais de nationalisation dans les 38 pays de l’Office Européen des Brevets (EPO).
La lettre de l’EPO est datée le 25/11/2017 mais, le 10/11/2017, suite à un avertissement d’un agent de brevets (Cabinet d’avocats en Allemagne), j’ai adressé une demande de subvention à l’Etat via son Agence d’exécution l’ASPIT et ma requête est classée sans suite. La seule chose que j’exige de cet Etat du Sénégal et que doit exiger tout sénégalais est de fournir les raisons de cet acharnement sur ma personne.
La perte de mes droits ne m’empêchera pas de publier d’autres innovations pour porter encore plus haut l’étendard de mon très cher Sénégal que je ne quitterai jamais, quelle que soit l’ampleur de l’ostracisme dont je suis victime. C’est ici au Sénégalais, dans mon pays, que le combat pour la transparence des élections sera mené.
Mr Bakar NDIAYE
Chercheur-Inventeur
Spécialiste du vote électronique
Membre du réseau d’experts ACE Project
(Réseau du savoir électoral ACE)